Changement climatique et montée du niveau de la mer. L’expertise du GIEC sous estime-t-elle le risque ?

2020-12-18 12:30 2020-12-18 14:00 Changement climatique et montée du niveau de la mer. L’expertise du GIEC sous estime-t-elle le risque ?

Pascal Maugis, Chercheur en Modélisation hydrologique et changement climatique au LSCE, tiendra le prochain vendredi de l'OVSQ en visio-conférence le vendredi 18 décembre prochain à 12h30.

«Changement climatique et montée du niveau de la mer. L’expertise du GIEC sous estime-t-elle le risque ?»

La prise de décision sur les impacts du changement climatique implique la prise en compte des éléments imprévus ou imprévisibles. L’expertise du GIEC s’appuie essentiellement sur des métriques de robustesse des prévisions et de consensus. Or, les intervalles d’incertitude et les indices de confiance sont intrinsèquement incapables de rendre compte de la complexité des incertitudes, en particulier en présence de controverses, de risques imprévus ou à prévisibilité non évaluable. La montée du niveau marin permettra d’illustrer ces déficiences et de proposer des méthodes complémentaires, conformes au principe de précaution et mieux à-même de protéger économies et populations.

11 boulevard d'Alembert - Guyancourt
Thematique : Développement soutenable, Formation, International, Recherche, Sciences et société

La prise de décision sur les impacts du changement climatique implique la prise en compte des éléments imprévus ou imprévisibles.

  • Public
    Grand public
  • Type d'évènement
    Conférence / séminaire
  • Conditions

    Visio conférence

  • Dates
    Vendredi 18 décembre, 12h30
    12:30 pm - 02:00 pm
  • Lieu
    11 boulevard d'Alembert - Guyancourt

Pascal Maugis, Chercheur en Modélisation hydrologique et changement climatique au LSCE, tiendra le prochain vendredi de l'OVSQ en visio-conférence le vendredi 18 décembre prochain à 12h30.

«Changement climatique et montée du niveau de la mer. L’expertise du GIEC sous estime-t-elle le risque ?»

La prise de décision sur les impacts du changement climatique implique la prise en compte des éléments imprévus ou imprévisibles. L’expertise du GIEC s’appuie essentiellement sur des métriques de robustesse des prévisions et de consensus. Or, les intervalles d’incertitude et les indices de confiance sont intrinsèquement incapables de rendre compte de la complexité des incertitudes, en particulier en présence de controverses, de risques imprévus ou à prévisibilité non évaluable. La montée du niveau marin permettra d’illustrer ces déficiences et de proposer des méthodes complémentaires, conformes au principe de précaution et mieux à-même de protéger économies et populations.